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Le partage, la convivialité et la solidarité sont des valeurs intimement liées à la Ville de Lanester. S’il est un quartier de la commune où elles trouvent un écho particulier et où le faire ensemble se vit au quotidien, c’est bien à Kerfrehour-La Châtaigneraie. Du haut de ses 48 ans, ce quartier vit une nouvelle étape et change de visage avec l’opération de renouvellement urbain qui est engagée. Entre démolitions, reconstructions et réaménagement des espaces publics, la transformation physique est notable. Tout l’enjeu, dans cette mutation, est de parvenir à conserver ce qui fait l’âme et l’identité du quartier et placer les habitantes et habitants au coeur du projet. Je tiens à remercier et saluer le travail et l’œuvre de collecte entrepris par Marie Fidel et son Conservatoire de Mémoire de Kerfrehour-La Châtaigneraie. Au contact des habitants, en s’immergeant dans son ambiance, ils réussissent le tour de force de retranscrire avec simplicité et réalisme ce qui fait le sel de la vie de ce quartier. Anecdotes, photos, mosaïque de portraits et souvenirs rythment avec plaisir et nostalgie ce roman-photo. Nous nous replongeons dans les éclats de rire, les pas dans les cages d’escaliers, les discussions qui se prolongent ou encore les animations des fêtes de quartier qui restent imprimées dans nos esprits. Pour se construire et se projeter vers l’avenir, il est indispensable de savoir d’où l’on vient. Avec cet ouvrage, nous gardons la trace d’une époque, ne l’oublions pas et ouvrons une nouvelle page pleine d’humanité.
Gilles Carreric, maire de Lanester.Préface du livre "Adieu Gégé, la saudade du quartier"
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Pour mes 70 ans, j’avais reçu un cadeau de mes enfants. C’était un bon cadeau pour le récit de ma vie. J’ai confié à ma fille que je regrettais de ne pas connaître la vie de mes parents avant ma naissance, et je voulais faire un écrit sur ma vie avant la naissance de mes enfants. Donc après avoir pris rendez-vous avec Marie Fidel, j’ai eu 5 entretiens et interviews avec elle. Une expérience unique pour moi de retourner dans ma mémoire et de me souvenir des bons moments, mais aussi des moins bons, cachés ou volontairement oubliés. Je garde un souvenir très agréable de mon récit avec Marie qui a parfaitement su écrire mes sentiments. Mes enfants et petits-enfants sont ravis du résultat.
Jan Dijkstra" La tribu, ma chance "
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La Ville d’Auray réalise un magazine « papier » distribué gratuitement à l’ensemble de la population d’Auray (Tirage à 10 100 exemplaires au 20/10/2023) et mis en ligne sur le site internet de la Ville. Depuis 2021, L’Écritoire de Marie est retenu pour la rédaction d’articles et la prise de photographies sur la thématique « Portrait » d’habitants ou d’agents. Les textes sont vivants, humains, argumentés, apportant une réelle plus-value… à un lecteur curieux. Ils reflètent le vivre-ensemble et sont traités avec sensibilité.
Ville d'Auray
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RésO Villes est un centre de ressources qui met à disposition des contenus d’actualité sur les quartiers défavorisés. Depuis 2018, L’écritoire de Marie nous aide à donner de la visibilité aux actions qui ont lieu sur les territoires grâce à la rédaction d’articles et de portraits de qualité, mettant en perspective des actions valorisantes sur les territoires. Ses atouts pour nous sont la connaissance des problématiques des quartiers populaires, la proximité avec les habitants, l’implication dans des actions liées au contrat de ville.
Résovilles
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Cette expérience a mis en lumière votre grande motivation, et tout l'enthousiasme que vous avez déployé dans l'écriture de ce livre.
Pierre Imbert"Quatre vies"
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Écrire l’histoire de sa vie n’est pas une tâche commune et demande des talents que peu de gens ont. Cela demande un certain nombre de qualités que je n’ai pas, hélas ! Le goût d’écrire, le savoir écrire, l’art de ne pas se répéter, de ne pas se mettre en scène trop ostensiblement, être objectif. Savoir capter l’attention du lecteur, trouver des anecdotes amusantes. En résumé, à partir d’une histoire vraie, écrire un roman ! Lorsque mes enfants, et petits-enfants m’ont demandé d’écrire l’histoire de ma vie, j’ai tout de suite pensé à demander à un écrivain de m’aider. Je raconte, il écrit. La rencontre, et les longs moments passés avec Marie pour mettre en mots toute une vie ont été très riches et, dans une certaine mesure, ont changé ma perception de la vie. Se remémorer son passé n’est pas neutre psychologiquement. Au fil des rencontres avec Marie, j’ai reconstitué, revécu, mon enfance, ma vie d’adulte, de mari, de père. Ma vie professionnelle, les soucis, les erreurs, les réussites, les joies, les peines… Je suis par nature tourné vers l’avenir, mais revivre son passé est une expérience assez stressante, car on imagine ce que l’on n’a pas fait, ce qu’on aurait dû faire pour que la vie soit meilleure. Mais ce passé fait partie de ma vie, il a contribué à me construire humainement. Je ne peux donc ni l’ignorer ni l’oublier. Un point qui me semble important dans cette « aventure littéraire », c’est de découvrir le regard de mes enfants et petits-enfants sur nos relations familiales, mon métier, leurs questionnements, leur compréhension différente de notre vie commune… Les rendez-vous réguliers, pendant plus d’un an, avec Marie, m’ont permis de mieux apprécier le temps présent. Mais aussi la chance que nous avons de vivre dans une oasis où les talents et les dynamismes peuvent se réaliser.
Maurice Benoîsh"Heureux qui, comme Ulysse..."
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Mon problème était de rédiger mon Histoire de vie. Mais j'avais pas le courage de la faire. A chaque fois que je tenais mon stylo, je me lassais. Si j’ai choisi un écrivain public c’est tout simplement pour m’aider à franchir un pas et avoir le courage de rédiger enfin mon histoire. Je voulais donner un témoignage par écrit, laisser un héritage à mes enfants, qu’ils connaissent leur histoire. Enfin je voulais aussi pousser les autres à écrire leur histoire. Moi qui n’aime pas parler de moi! Cela m’a demandé un effort de me livrer. Ce qui est important, c’est la confiance. Vous êtes une personne sur laquelle on peut compter, accueillante.Vous donnez beaucoup. Merci pour tout, c’est grâce à vous que j’ai pu écrire mon histoire. J’en suis reconnaissant.
Jean Mboungou"Histoire d'un père de famille"
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« Mes parents sont très très amoureux. L’un ne va pas sans l’autre. Très différents cependant. Ils ont eu une enfance et une jeunesse pas rigolotes. Il faudrait raconter leur enfance, mais surtout l’histoire d’un couple qui s’aime et qui a traversé les épreuves ensemble. », Soazig.
Nadine et Jean-Jacques"Une vie"
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L'écriture du livre a ravi mon père qui a pu par ce biais transmettre son histoire, dont il était fier, à ses petits-enfants et au delà montrer à sa famille et amis (sœurs, nièces, neveux ...) une facette de sa vie qu'ils ne connaissaient que très partiellement.
Michaël Le Bris, fils de l'auteur Gabriel Le Bris"Une vie professionnelle aventureuse"
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« Vu mon âge et la maladie neurodégénérative de Parkinson, j’avais besoin d’aide. Les rencontres bi- hebdomadaires avec Marie donnèrent un rythme intéressant à mes semaines. J’avais le temps de regrouper mes papiers et mes idées entre chaque rencontre. Avec la coupure générationnelle de l’informatique, vu mes difficultés motrices, je ne pouvais pas m’y mettre. Ses compétences dans ce domaine, son agilité, son sens de l’orthographe m’ont permis de me reposer sur elle en lui faisant confiance. Sa jeunesse et sa santé, son goût pour son travail, me fournissent une infusion de globules rouges parce que je suis perméable aux organismes en face de moi. Elle est à l’écoute, prend sa place tout en respectant la mienne, ce qui crée une relation très harmonieuse. Ça met de l’huile dans les rouages. Elle accompagne le projet jusqu’au bout, jusqu’à me véhiculer chez l’imprimeur et à connaître les rouages et méandres de l’édition, jusqu’à la BNF et ISBN. Comme elle aime son métier, son humeur est toujours joviale quand elle met le pied chez moi. »
Françoise Le Joncour" Malentendu ? Bien entendu ! "